Lieux de culte et de prière
 

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Basilique de Notre-Dame du Rosaire de Fatima

La Basilique de Notre-Dame du Rosaire de Fatima est édifiée à l’endroit même où les trois petits bergers jouaient à construire un petit mur en pierres quand ils virent un éclair soudain qui les a surpris et les a poussés à réunir le troupeau pour rentrer à la maison craignant la pluie.

Le projet a été conçu par l'architecte Gerardus Samuel van Krieken et poursuivi par João Antunes. La première pierre a été bénie le 13 mai 1928 par l'archevêque d'Évora et sa consécration a eu lieu le 7 octobre 1953. Le titre de basilique lui a été accordé par Pie XII dans Luce Superna, du 11 novembre 1954.

L’édifice mesure 70,5 mètres de long et 37 de large et a été construit entièrement avec de la pierre calcaire de la région, branco do mar.

Particularités extérieures

La tour du clocher mesure 65 mètres de haut. Elle possède, au sommet, une couronne de bronze de 7 tonnes construite à la Fonderie Bolhão, surmontée d’une croix lumineuse. Le carillon est composé de 62 cloches, fondues et accordées à Fatima par José Gonçalves Coutinho. L'horloge est une œuvre de Bento Rodrigues. Le monogramme NSRF – Notre-Dame du Rosaire de Fatima – qui se trouve sur la façade de la tour, est une mosaïque conçue dans les ateliers du Vatican. La mosaïque, au-dessus de l’entrée principale de la Basilique, a aussi été conçue dans les ateliers du Vatican et représente la Très Sainte Trinité couronnant Notre-Dame. Les anges de la façade sont en marbre et l’auteur est Albano França. La statue du Cœur Immaculé de Marie, dans la niche de la tour, a été taillée par le père et sculpteur américain Thomas McGlynn. Bénie le 13 mai 1958, elle a été sculptée selon les indications de Sœur Lucia et a été offerte par des catholiques américains.

 

Aspects intérieurs

Le temple est constitué par une grande nef avec chœur, transept et deux sacristies, l’une ayant été transformée en lieur de culte (Chapelle de St Joseph).

Le temple dispose de 14 autels latéraux – en marbre provenant d’Estremoz, Pero Pinheiro et Fatima – où sont représentés les mystères du rosaire, des bas-reliefs de bronze créés par Martinho de Brito et dorés par Alberto Barbosa. Le 15ème mystère se trouve dans l’abside du chœur, il s’agit d’un haut-relief de Maximiano Alves. Les vitraux des autels latéraux représentent des invocations de la litanie de Notre-Dame et ont été conçus par João de Sousa Araújo. Une mosaïque, conçue dans les ateliers du Vatican et offerte par des catholiques de Singapour, couvre l’arche de la croisée du transept avec l’inscription «Regina Sacratissimi Rosarii Fatimae Ora Pro Nobis» (Priez pour nous, Reine du Très Saint Rosaire de Fatima).  Le 10 avril 1998, un chemin de Croix a été placé sur les murs latéraux; il s'agit d'un ensemble de 15 mosaïques, conçues par Fred Pittino.

En 1995, le presbytère du chœur a été rénové par l’architecte Erich Corsepius. Au centre, on découvre le grand autel de pierre sur lequel a été installé le devant-d’autel, en argent, provenant de l’autel primitif – joyau d’art exécuté par l'Orfèvrerie Aliança – qui représente la Dernière Cène. L'ambon, le piédestal de la statue de Notre-Dame et le siège de la présidence sont faits de la même pierre que celle de l'autel. Le tabernacle, comme le devant-d'autel, est en argent. Le tableau du retable est du peintre João de Sousa Araújo et représente le Message de Notre-Dame qui descend sous forme de lumière et de paix, à la rencontre des voyants, préparés par l'Ange, à travers leur rencontre avec le Christ dans l'Eucharistie; l'Église est aussi présente (représentée par l’évêque du diocèse et les papes).

Dans le bras gauche du transept, on découvre la chapelle où, depuis le 1er mai 1951, reposent les restes mortels de la Bienheureuse Jacinta, décédée le 20 février 1920, et les restes mortels de Sœur Lucia, décédée le 13 février 2005 qui y a été transférée le 19 février de l’année suivante. La statue de Jacinta est une œuvre de Clara Menéres et a été bénie par Jean-Paul II le 13 mai 2000. À l’opposé du transept, on découvre la chapelle où, depuis le 13 mars 1952, reposent les restes mortels du Bienheureux Francisco, décédé le 4 avril 1919. Jean-Paul II a aussi béni la statue de Francisco, du sculpteur José Rodrigues, le 13 mai 2000.

L'orgue, qui se trouve dans l’espace de la chorale, au fond de la Basilique, a été construit et assemblé par la firme italienne Fratelli Ruffatti et inauguré en 1952. Les cinq plans de l’orgue, premièrement dispersés, ont été réunis en 1962. En 2015, dans le cadre de la célébration du centenaire des apparitions de Fatima, l’orgue, dans un état avancé de détérioration depuis plusieurs années, fut l’objet d’une profonde intervention de restauration/construction. Une partie considérable des tubes de l’orgue primitif  Ruffatti a été réutilisée ; ils sont encadrés dans une nouvelle boîte conçue dans une esthétique contemporaine, résultat d’une étroite collaboration entre le facteur d’orgue et le service d’architecture du Sanctuaire de Fatima. La nouvelle version de l’instrument – construit par la firme Mascioni Organi – présente, comme l’ancien, cinq claviers manuels, mais avec un arrangement restructuré, et compte 90 registres.

 


 

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Colonnade

Cet ensemble architectural est l’œuvre d'António Lino et est composé de 200 colonnes et demi-colonnes, et de 14 autels. La Colonnade comprend un Chemin de Croix en céramique; ces tableaux ont été exécutés par l’entreprise «Viúva Lamego» selon les dessins de António Lino, en collaboration avec le céramiste Manuel Cargaleiro.

17 statues surmontent la Colonnade. Quelques-unes sont de saints dont les congrégations sont représentées à Fatima, d’autres de saints qui, par leurs écrits et prêches, ont été des «apôtres mariaux». Les plus grandes statues mesurent 3,20 mètres et les plus petites 2,30 mètres.

L’orgue de l’Esplanade de Prière, installé dans la salle de la chorale, à gauche de la Basilique de Notre-Dame du Rosaire, a été construit par Yves Koenig. Il compte 20 registres, distribués par 2 claviers manuels et pédalier. Sa composition permet d’accompagner des grandes célébrations et, grâce à ses grandes capacités sonores, permet d’interpréter un large répertoire.


 

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Esplanade de Prière

L’Esplanade de Prière est une vaste place bordée, côté nord comme sud, par des arbres feuillus et circonscrit, côté est et ouest, par la Basilique de Notre-Dame du Rosaire de Fatima et par la Basilique de la Très Sainte Trinité, respectivement. Cet espace nous invite à l’intériorité et à la prière et peut concentrer de grandes assemblées lors de célébrations.

Grand Chêne

Le Grand Chêne, désigné ainsi dans plusieurs documents primitifs sur les apparitions, est un arbre centenaire et le seul qui est subsisté de tous les arbres existants. Ce n’est pas sur celui-ci que Notre-Dame est apparue, mais on l’a tout de suite lié aux apparitions. C’est justement quand les petits bergers d’Aljustrel passaient près de ce chêne, comme raconte Lucia, qu’ils virent une deuxième fois l’éclair qui a précédé l’apparition du 13 mai. Les mois suivants, c’était à l’ombre du Grand Chêne que les petits bergers priaient le rosaire avec d’autres personnes qui les accompagnaient pour se préparer à la nouvelle visite Notre-Dame.

En janvier 2007, la Direction générale des Ressources Forestières du Portugal l'a classé d’«intérêt public» pour avoir été traditionnellement lié aux apparitions.

 

Monument au Sacré Cœur de Jésus

L’ensemble architectonique, qui supporte la statue du Sacré Cœur de Jésus, se trouve sur la structure primitive de la fontaine qui a été construite à la suite de perforations visant à trouver, à Cova da Iria, de l’eau pour les besoins des pèlerins. De cet ensemble primitif et en raison des travaux de nivelage de l’esplanade, seulement la partie supérieure est visible ainsi que la colonne sur laquelle se trouve le Sacré Cœur de Jésus.

La statue est en bronze doré et son auteur est inconnu. Cette offrande d’un pèlerin a été bénie par Mgr. João Beda Cardinale, alors Nonce apostolique, le 13 mai 1932.

Son emplacement au centre géographique du Sanctuaire illustre de façon significative la centralité de Jésus-Christ dans le Message de Fatima.

 

Crèche

À l'aube du 25 décembre 1999, début du Grand Jubilé de l’Année 2000, une crèche a été inaugurée au Sanctuaire. Son auteur est José Aurélio.

Cette crèche, en acier inox perforé, a une forme triangulaire faisant allusion à la Très Sainte Trinité. Sa base a 5 mètres ainsi que sa hauteur.

 

Mur de Berlin

Ce monument, inauguré le 13 août 1994, est un morceau du mur construit, à Berlin, la nuit du 12 août 1961 et qui a divisé la ville pendant presque trente ans; sa destruction a eu lieu en novembre 1989. Ce morceau du mur, pesant 2,6 tonnes et mesurant 3,60 par 1,20 mètre, a été offert par un portugais habitant en Allemagne. L’agencement du monument est de l’architecte José Carlos Loureiro.

 

Hommages à Manuel Nunes Formigão et Luís Fischer

Inauguré le 13 octobre 1998, près du Mur de Berlin, un monument a été consacré en hommage au chanoine Manuel Nunes Formigão et au Père Professeur Luís Fischer, deux illustres prêtres qui ont contribué aux fondements de l’historiographie des apparitions de Fatima et à la diffusion de son message. Ce monument est constitué par 7 panneaux de granite vert perle et son auteur est Graça Costa Cabral.

 


 

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Basilique de la Très Sainte Trinité

L’idée de construire une nouvelle église dans le Sanctuaire de Fatima remonte à 1973. La Basilique de Notre-Dame du Rosaire n’avait plus la capacité d’accueillir tous les pèlerins, surtout les dimanches et les jours de moyenne affluence. En 1997, le Sanctuaire a organisé un concours international duquel a été sélectionné l’architecte grec Alexandros Tombazis avec un projet qui prévoyait la construction d’une nouvelle église au fond de l’Esplanade de Prière, sur la place Pie XII.

La pose de la première pierre a eu lieu le 6 juin 2004, Solennité de la Très Sainte Trinité. Plusieurs raisons sont à l’origine du nom de l’église dédiée à la Sainte Trinité: les apparitions de l’Ange, qui invitait constamment à adorer Dieu, la Sainte-Trinité ; les paroles proclamées par Jean-Paul II, à la Chapelle des Apparitions, en action de grâce à la Sainte Trinité, en mai 1982; le Grand Jubilé de l’an 2000, dédié lui aussi à la Sainte Trinité.

Le 12 octobre 2007, l’Église de la Très Sainte Trinité a été consacrée par le cardinal Tarcisio Bertone, alors secrétaire d’État du Vatican et légat de Benoît XVI, pour la clôture du 90ème anniversaire des apparitions de Notre-Dame aux trois petits bergers.

En 2012, la Congrégation pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements accorde à ce temple le titre de basilique, par le Décret du 19 juin 2012 qui met aussi en évidence son importance pastorale mais surtout le lien particulier de communion avec le saint père – dimension particulièrement importante du message de Fatima – et l’affection qu’il porte à Fatima.

La Basilique de la Très Sainte Trinité, en forme circulaire, a un diamètre de 125 mètres sans aucun pilier intermédiaire ; la construction repose sur deux poutres de 182,50 mètres de long avec un vide de 80 mètres et une hauteur maximale de 21,15 mètres. La hauteur du bâtiment est de 18 mètres. Toute l’église est blanche et possède 8633 places. L’intérieur peut se diviser en deux secteurs à l’aide d’une paroi mobile de 2 mètres de hauteur. Le chœur peut accueillir près de 100 concélébrants.

L’autel, l’ambon, les sièges de la présidence et le sol du chœur sont en pierre calcaire branco do mar. Le reste du sol de l’église est en pierre ataíja de couleur crème et de couleur azurin dans les autres espaces. 

Iconographie extérieure

Le portique de l’entrée est une sculpture suspendue, en fil d’acier, qui évoque les apparitions de l’Ange et nous invitent à rentrer dans le temple pour adorer la Très Sainte Trinité; cette œuvre se doit à Maria Loisidou. La porte principale, en bronze, est dédiée à Jésus-Christ; son auteur est Pedro Calapez. Des deux côtés de cette porte, sur un plan supérieur et du même auteur, se trouvent des tableaux représentant les vingt mystères du Rosaire. Sur un plan inférieure, deux panneaux en verre avec quatre textes bibliques écrits en vingt-six langues; c’est un monument à la Parole de Dieu, à l’universalité des pèlerins de Fatima et à la Très Sainte Trinité. Son artiste est Kerry Joe Kelly. Les portes latérales, en bronze et avec 8 mètres de haut, sont dédiées aux Douze Apôtres; le graphisme des inscriptions se doit à Francisco Providence.

 

Iconographie intérieure

L’autel est un bloc entier de pierre de la région, branco do mar, qui mesure 3,50 mètres de long, 1,90 mètre de large et 94 centimètres de haut. Il pèse 16 tonnes. Sur le devant, un fragment marmoréen du tombeau de l’Apôtre Pierre (sur lequel a été construite la Basilique de St. Pierre, au Vatican). Cette petite pierre est un signe visible de la communion avec l’Église Universelle et nous rappelle le lien existant entre Fatima, et son message, et le saint père. Le crucifix en bronze, suspendu au-dessus de l’autel et devant l’Agneau de la mosaïque, fait 7,50 mètres de haut. Cette œuvre se doit à Catherine Greene. La sculpture de Notre-Dame de Fatima représente Marie, jeune, de bras ouverts, dévoilant son Cœur Immaculé et le rosaire. Cette sculpture en marbre de Carrare fait 3 mètres de haut. Son créateur est Benedetto Pietrogrande. Et, finalement, le tableau qui recouvre la paroi courbe du presbytère. Il s’agit d’une mosaïque qui a 10 mètres de haut et 50 mètres de long ; elle est en terre cuite dorée et moulée à la main. La couleur or symbolise la sainteté et la fidélité de Dieu ; les trois lignes rouges visent à mettre en valeur le doré et favorisent la perception du mystère et de la sainteté. Le dynamisme, la tension de lumière et l’or, horizontalement et verticalement, visent à nous convoquer à accueillir la beauté, la communion et l’amour. L’auteur de cette mosaïque est Marko Ivan Rupnik. L’œuvre a été réalisée par un groupe d’artistes spécialisés provenant de huit pays différents et de quatre Églises chrétiennes.

 

Galilée des Apôtres St. Pierre et St. Paul et zone de la Réconciliation

La Galilée des Apôtres St. Pierre et St. Paul est un vaste espace souterrain, organisé comme un grand couloir, entre le complexe de la Basilique de la Très Sainte Trinité, auquel il appartient, et l’Esplanade de prière. Il a 150 mètres de long et le mur est recouvert de mosaïques conçues par Alvaro Siza Vieira. L'accès se fait par deux escaliers et deux rampes. La Galilée des Apôtres est l'atrium commun aux chapelles de la zone de la réconciliation – Chapelle du Saint-Sacrement, Chapelle de la Mort de Jésus, Chapelle de la Résurrection de Jésus, Chapelle du Sacré-Cœur de Jésus et Chapelle du Cœur Immaculé de Marie – et à l’Espace Augustin, espace polyvalent qui partage le même langage architectural de l’ensemble du complexe. Dans le hall d'entrée de la Chapelle de la Résurrection de Jésus et de la Chapelle du Saint-Sacrement, il y a une Via Lucis, créée par Vanni Rinaldi.

Dans la Galilée des Apôtres, deux miroirs d'eau peuvent être admirés; ils nous invitent à la réflexion et à l'intériorité. Le premier, du côté de Saint-Pierre, fait allusion à la première création, la création de la vie; le second, du côté de Saint-Paul, fait allusion à la seconde création, le baptême, comme une participation à la vie nouvelle de Jésus-Christ.

 

Places Jean-Paul II et Pie XII et la Grande Croix

La Basilique de la Très Sainte Trinité est entourée par deux places. La Place Jean-Paul II se situe à l’est de la basilique; deux statues y sont érigées: au nord-est, la statue de Jean-Paul II, dont l’auteur est Czeslaw Dzwigaj, et, au nord-ouest, la statue de Paul VI, dont l’auteur est Joaquim Correia. Sur cette même place et près de la statue du pape polonais, on trouve la Grande Croix, faite en acier corten, avec 34 mètres de haut et 17 mètres de large. Cette œuvre a été conçue par Robert Shad. La Place Pie XII se situe à l’ouest de la Basilique et on y trouve la statue de Pie XII, au sud-ouest, œuvre de Domingos Soares Branco, et la statue de Mgr. José Alves Correia da Silva, au sud-est, œuvre de Joaquim Correia.

 


 

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Chapelle du Saint Sacrement

Le Saint Sacrement est exposé pour l’adoration, au Sanctuaire de Fatima, depuis le 1er janvier 1960.

L’exposition se faisait, au début, à la chapelle de l’hôpital de Notre-Dame du Mont-Carmel, aujourd’hui Maison pour Retraites de Notre-Dame du Mont-Carmel. En 1964, la Laus Perennis – exposition permanente du Saint Sacrement – se faisait aussi à l’Auberge des Malades, aujourd’hui Maison pour Retraites de Notre-Dame des Douleurs. Plus tard, en 1987, la Chapelle de l’Adoration fut inaugurée à l’extrémité du bras sud de la Colonnade, aujourd’hui Chapelle Ange de la Paix.

À partir du 13 juillet 2008, la Laus Perennis se réalise désormais dans la nouvelle Chapelle du Saint Sacrement, située dans le complexe de la Basilique de la Très Sainte Trinité. Cette chapelle, toujours accessible par la Galilée des Apôtres St Paul et St Pierre, possède 200 places. L’ostensoir, en argent, a été conçu par le sculpteur Zulmiro de Carvalho, en 1986.


 

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Chapelle de la Réconciliation

Dans la Galilée des Apôtres St Pierre et St Paul, il existe la Chapelle du Sacré Cœur de Jésus et la Chapelle du Cœur Immaculé de Marie, entièrement destinées au sacrement de la Pénitence. Elles ont, respectivement, 16 et 12 confessionnaux.


 

Chapelle de la Mort de Jésus

La Chapelle de la Mort de Jésus, qui se situe dans la Galilée des Apôtres St. Pierre et St. Paul, reçoit des célébrations du programme officiel du Sanctuaire de Fatima. Elle possède 600 places assises.


 

Chapelle de la Résurrection de Jésus

La Chapelle de la Résurrection de Jésus possède 200 places et 16 confessionnaux. Elle fait partie du complexe de la Basilique du Très Saint Sacrement, dans la Galilée des Apôtres St. Pierre et St. Paul.


 

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Chemin de Croix sur le Chemin des Petits Bergers et Calvaire Hongrois

Commençant au Rond-point de Sainte Thérèse de Ourém (Rond-point Sud) et poursuivant le chemin que les petits bergers habituellement parcouraient, le Chemin de Croix sur le chemin des petits bergers termine au Calvaire Hongrois – premièrement dénommé «Calvaire Hongrois Cardinal Mindszenty» –, dont la chapelle est dédiée à Saint Étienne, roi de Hongrie.

Les quatorze stations du Chemin de Croix et la chapelle ont été offertes par des catholiques de Hongrie et ont été projetées par Ladislau Marec. La première pierre du Chemin de Croix a été bénie le 21 juin 1959 et la première pierre de la chapelle le 11 août 1962. Les stations et la Chapelle de Saint Étienne ont été bénies le 12 mai 1964. La 15ème station, bénie et inaugurée le 13 octobre 1992, a été offerte par la paroisse hongroise de Lajosmizse, comme signe de gratitude envers Notre-Dame pour la «résurrection» de la Hongrie.

Les tableaux des stations, en bas-relief, et la statue de Notre-Dame Patronne de Hongrie, dans la Chapelle, sont de Maria Amélia Carvalheira Da Silva. Les sculptures du calvaire sont de Domingos Soares Branco. Les vitraux de la chapelle, œuvre de Pedro Prokop, représentent des saints hongrois ; et les deux grandes mosaïques du plafond, conçues par le même artiste, sont faites avec des petites pierres de marbre et représentent l'apparition de Notre-Dame aux trois voyants et le don de la couronne de Hongrie par le roi Saint Étienne à Notre-Dame.

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29 déc 2024

Chapelet, à la Chapelle des Apparitions

  • 21h30
Rosaire
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